Bâtiment ancien (XVIII-XIXe s.) dans le coeur du village, lieu de manifestations ponctuelles,
De là, Saint Dominique aurait vu une boule de feu tombant sur Prouilhe ; y voyant un signe de Dieu, il fonda à cet endroit son premier monastère. Par temps clair, surprenante vue panoramique sur la Montagne Noire, la plaine du Lauragais et la chaîne des Pyrénées.
Le Seignadou (signe de Dieu)
Faisant corps avec le parapet d'un pont du XVIIème s., elle présente quatre bras séparés par une simple fente entre les extrémités pattées. D’un côté, une main bénissant symbolisant la Trinité, de l’autre, un agneau portant la croix oriflammée et sur chacun des bras, gravure d’un écu. Malheureusement les blasons sont illisibles.
La croix discoïdale XIIIème siècle
Petite tour d’angle, dernier vestige, depuis la disparition des 14 autres de la citadelle du Moyen-Age. On aperçoit au fond le clocher de l'église, haut de 40 m, qui servit de repère pour les premières cartes du géographe Cassini.
La rue de la tour XVIème (rue En Pelisse)
Lieu de rassemblement pour les marchés, les fêtes locales, les foires, les expositions, jolie charpente en chêne.
Les Halles du XVIIIème siècle
L'ancien couvent des frères prêcheurs
La maison Saint-Dominique
À l'exception du monastère de Prouilhe, distant de 1,5 Km du coeur du village, le patrimoine se découvre "pédibus", en parcourant les rues et ruelles de Fanjeaux